La population américaine à la veille de la guerre d’Indépendance1
§ 1
§ 2
§ 3
§ 4
§ 5
§ 6
- À la suite d’une négociation et/ou la conclusion d’un traité. C’est le cas des six nations iroquoises qui, par le traité de Lancaster en 1744, laissent les habitants du Maryland, de Pennsylvanie et de Virginie peupler la vallée de la Shenandoah. De même, en 1752, le traité de Logstown entre les Iroquois, les Shawnees et les Delawares et la Virginie autorise les colons à s’installer sur le versant sud du fleuve Ohio.
- L’achat des terres par les colons d’origine européenne qui se développe dans les années 1760. Ainsi, James Wright, gouverneur de Géorgie, achète des millions d’hectares aux Creeks essentiellement.
- L’occupation par la violence est un autre recours. En 1760 et 1761, la Caroline du Sud livre aux Cherokees une guerre qui dévaste les confins occidentaux de la colonie, créant une zone où les tensions restent vives.
§ 7
§ 8
§ 9
Notes
1. Bibliographie indicative sur cette question : Greene (Jack P.), Pursuits of Happiness. The Social development of Early Modern British Colonies and the Formation of American Culture, Chapel Hill, University of North Carolina Press, 1988. Morgan (Philip D.), Slave Counterpoint, Chapel Hill, University of North Carolina Press, 1998. Pétré-Grenouilleau (Olivier), Les Traites négrières, Paris, Gallimard, 2004. Simons (Richard C.), The American Colonies, New York, WW Norton & Cie, 1981. Van Ruymbeke (Bertrand), L’Amérique avant les États-Unis. Une histoire de l’Amérique anglaise (1497-1776), Paris, Flammarion, 2013.
Citer cet article
Daniel Fischer, « La population américaine à la veille de la guerre d’Indépendance », dans Isabelle Laboulais (éd.), Flohr. Le voyage en Amérique, ARCHE UMR3400, 2020 (édition numérique : <https://estrades.huma-num.fr/flohr-expo/fr/article/fr-article-3-2.html>, consulté le 13-09-2024)