L6 : De mirabili divina dispensatione et ortu beati Gregorii papæ
Présentation
Édition : Peter Andersen
Collaboration : Patrick del Duca (relecture de la traduction)
Description succincte
- Témoins : 51 éditions (1472-1555) et 4 manuscrits (c. 1481-c. 1650)
- Sigles : L6-1 à L6-55 (L6-1 à L6-51 : éditions ; L6-52 à L6-55 : manuscrits)
- Longueur totale des témoins : environ 649 pages
- Témoins transcrits : L6-1 et L6-2
- Longueur du principal témoin transcrit : 901 lignes et 4373 mots (L6-1)
- Référence numérique : lignes de L6-1
- Auteur : anonyme
- Lieu : Cologne
- Date : vers 1472
- Source : L4
Facsimilés
- L6-1 ([Cologne, Johann Schilling pour William Caxton ou Jan Veldener, vers 1472] ; Munich BSB, 2 Inc.s.a. 254#Beibd.1, fol. [63]ra-[69]ra)
- L6-2 ([Utrecht, Nicolaas Ketelaer et Gerard Leempt, vers 1473] ; La Haye KB, 168 E 15, fol. [64]v-[71]r) – EN COPYRIGHT (contenu des pages)
- L6-3 ([Cologne, Ulrich Zell, vers 1473] ; Düsseldorf, CULTG 235:INK, fol. [65]v-[71]r)
- L6-4 (Gouda, Gerard Leeu, 1480 ; Oxford BL, Auct. 2Q 4.38, fol. [63]ra-[68]ra)
- L6-5 (Hasselt, Peregrinus Barmentlo, 1481 ; La Haye KB, KW 171 E 35, fol. [63]ra-[68]ra) – EN COPYRIGHT (contenu des pages)
- L6-6 ([Cologne, Ulrich Zell, vers 1482] ; Darmstadt, Universitäts- und Landesbibliothek, Inc III 19, fol. 37va-41ra, encore indisponible en ligne)
- L6-7 (Louvain, Johann von Paderborn, [vers 1482] ; Bruxelles, Bibliothèque royale de Belgique, INC A 1.861 (RP), fol. [95]v-[104]v, encore indisponible en ligne)
- L6-8 (Louvain, Johann von Paderborn, [vers 1483] ; Oxford BL, Douce RR 59, fol. [95]v-[104]v, encore indisponible en ligne)
- L6-9 (Louvain, Johann von Paderborn, [vers 1484] ; Göttingen, 8 PATR LAT 2548/21 INC, fol. [95]v-[104]v, encore indisponible en ligne)
- L6-10 ([Strasbourg, imprimeur des Vitas patrum, vers 1484] ; Munich, BSB, 2 Inc.s.a. 516, fol. 44vb-48vb, encore indisponible en ligne)
- L6-11 ([Cologne, Heinrich Quentell, vers 1485] ; Wolfenbüttel, A: 493.4.1 Theol. 2°, fol. 41rb-44vb, encore indisponible en ligne)
- L6-12 ([Strasbourg, Martin Schott, vers 1485] ; Munich BSB, 2 Inc.c.a. 1961 a#Beibd.1, fol. 38va-42ra, encore indisponible en ligne)
- L6-13 ([Augsbourg, Anton Sorg, vers 1487] ; Munich BSB, 2 Inc.s.a. 514, fol. 37ra-40rb, encore indisponible en ligne)
- L6-14 ([Strasbourg, Johann Grüninger,] 15/01/1488 ; Zurich, Rb 32,4, fol. 38va-42ra, encore indisponible en ligne)
- L6-15 ([Strasbourg, imprimeur du Jordan de Quedlinburg,] 1489 ; Berlin SB, 4° Inc 2431b, fol. 38va-42ra, encore indisponible en ligne)
- L6-16 ([Strasbourg, imprimeur du Jordan de Quedlinburg,] 1493 ; Darmstadt, inc-iii-20, fol. 38va-42ra, encore indisponible en ligne)
- L6-17 ([Nuremberg, Anton Koberger,] 1494 ; Munich BSB, 4 Inc.c.a. 1095, fol. 44rb-48rb, encore indisponible en ligne)
- L6-18 ([Nuremberg, Anton Koberger,] 1497 ; Munich BSB, 4 Inc.c.a. 1393, fol. 49va-53vb, encore indisponible en ligne)
- L6-19 ([Strasbourg, Johann Grüninger (?)], 1499 ; Munich BSB, 2 Inc.c.a. 3766, fol. 38va-42ra, encore indisponible en ligne)
- L6-20 (Paris, Jean Petit, 1499 ; Bruxelles, INC A 644 (RP), fol. 56ra-60va, encore indisponible en ligne)
- L6-21 (Paris, Jean Petit & Philippe Pigouchet, 1503 ; Vienne NB, 71.Z.157, fol. 66vb-72va, encore indisponible en ligne)
- L6-22 (Paris, Jean Petit, 1506 ; Gand, BIB.PHIL.000719, fol. 66vb-72va) –EN COPYRIGHT (contenu des pages)
- L6-23 ([Venise, imprimeur inconnu,] 1507 ; Rome BN, 69. 6.C.17, fol. 59ra-64ra) – EN COPYRIGHT (contenu des pages)
- L6-24 (Haguenau, Heinrich Gran, 1508 ; Munich BSB, 2 P.lat. 1722, fol. 33ra-36ra, encore indisponible en ligne)
- L6-25 (Paris, François Regnault, 1508 ; Madrid BN, R/13513, fol. [64]rb-[70]ra, encore indisponible en ligne)
- L6-26 ([Paris (?), Jean Frellon (?)], 1509 ; Munich BSB, P.lat. 2170, fol. 60va-66ra, encore indisponible en ligne)
- L6-27 (Paris, Enguilbert, Jean & Geoffroy de Marnef, 1509 ; Rostock, Cq-335, fol. 66rb-72ra, encore indisponible en ligne)
- L6-28 (Paris, Jean Barbier pour Pierre Gaudoul, 1510 ; Londres BL, 12430.a.23, fol. 66rb-71ra, encore indisponible en ligne)
- L6-29 (Paris, Enguilbert, Jean & Geoffroy de Marnef, 15.02.1511 ; Toulouse, Res. D XVI 602, fol. 64rb-70ra, encore indisponible en ligne)
- L6-30 (Venise, [sans imprimeur], 1512 ; Munich BSB, P.lat. 2171, fol. 75va-82ra, encore indisponible en ligne)
- L6-31 (Paris, François Regnault, 1513 ; Augsbourg UB, 02/IV.12.8.157, fol. 64rb-70ra, encore indisponible en ligne)
- L6-32 ([Rouen, Laurent Hostingue pour] Michel Angier de Caen, Jean Macé de Rennes & Richard Macé de Rouen, 1514 ; Paris BnF, RES-Z-2578, fol. 64rb-70ra, encore indisponible en ligne)
- L6-33 (Rouen, Pierre Olivier pour François Regnault, 1514 ; Cambridge KC, Thackeray.J.47.32/1, fol. 59vb-65ra, encore indisponible en ligne)
- L6-34 (Paris, Jean Petit, 1515 ; Mayence GM, k Ink 919, fol. 64ra-70ra, encore indisponible en ligne)
- L6-35 (Venise, Giorgio Rusconi, 1516 ; Rome BC, Q.III.121, fol. 58vb-63vb) – EN COPYRIGHT (contenu des pages)
- L6-36 (Haguenau, Heinrich Gran, 1517 ; Munich BSB, 2 P.lat. 1723, fol. 33ra-36ra, encore indisponible en ligne)
- L6-37 (Paris, François Regnault, 1517 ; Munich BSB, P.lat. 2172, fol. 59vb-65ra, encore indisponible en ligne)
- L6-38 (Paris, [Jean Petit ou François Regnault], 1517 ; Paris BnF, 8-H-3102, fol. 59vb-65ra (très probablement), encore indisponible en ligne)
- L6-39 (Paris, Jean Marion pour Constantin Fradin, 1518 ; Munich BSB, P.lat. 2174, fol. 75v-82r, encore indisponible en ligne)
- L6-40 (Paris, Jean de La Porte (et Bernard Aubry ?), 1518 ; Mayence GM, k Ink 1079, fol. 80v-88r, encore indisponible en ligne)
- L6-41 (Lyon, Jacques Moderai de Pingueto, [c. 1519] ; Avignon, 8° 22789, fol. 67v-75v, encore indisponible en ligne)
- L6-42 (Venise, Alexander Bindoni, 1520 ; Saint-Jacques-de-Compostelle, CCBE S. XVI, H, 542, fol. 63v-69r, encore indisponible en ligne)
- L6-43 (Paris, Jean Petit, 1521 ; Avignon, 8° 13256, fol. 80v-87v, encore indisponible en ligne)
- L6-44 (Rouen, [Pierre Olivier pour] François Regnault, 1521 ; Vienne NB, BE.11.R.15, fol. 64rb-70ra, encore indisponible en ligne)
- L6-45 (Lyon, Jean de la Place et Simon Vincent, 1523 ; Beaune, ancien A 56, fol. 75v-82r, encore indisponible en ligne)
- L6-46 (Venise, Francesco Bindoni, 1527 ; Bischheim, sans cote, propriété de l’éditeur, fol. 63va-69ra)
- L6-47 (Lyon, Jean David dit la Mouche, 1529 ; Avignon, 8° 13257, fol. 69v-75v)
- L6-48 (Paris, Pierre Gaudoul, 1531 ; Poitiers, E 493(1), fol. 80v-87v)
- L6-49 (Lyon, [Mathieu Bonhomme], 1539 ; Kassel, 34 BGM 1992 A 244, fol. 69v-75v)
- L6-50 (Lyon, [sans imprimeur], 1540 ; Halle ULB, AB 47 18/i, 11, fol. 67v-75v)
- L6-51 (Lyon, Jacques Faure pour les héritiers de Jacques Giunta, 1555 ; Munich BSB, P.lat. 2175, p. 287-311)
- L6-52 (manuscrit, c. 1481 ; Kiel UB, Cod. ms. Bord. 113, fol. 1v)
- L6-53 (manuscrit, 1484/1500 ; Wiesbaden, Cod. 55, fol. 50v-54v)
- L6-54 (manuscrit, 1522 ; Munich BSB, Clm 1800, fol. 72r-78v)
- L6-55 (manuscrit, 1600/1700 ; Munich BSB, Clm 8522, fol. 56r-60v)
Le récit en prose intitulé De mirabili divina dispensatione et ortu beati Gregorii papæ à partir de la troisième édition publiée vers 1474 à Cologne par Ulrich Zell fait partie du recueil anonyme extrêmement populaire connu sous le nom de Gesta Romanorum (« Gestes des Romains »). Si la recherche a longtemps hésité entre une composition initiale aux îles britanniques et sur le continent européen, on tend aujourd’hui à considérer que l’original fut écrit par un Franciscain vers 1340 dans le sud de l’Allemagne, probablement dans la région du lac de Constance (Bright 2019, p. xxii-xxviii). Il semble que le recueil original était similaire à la version conservée dans le manuscrit daté le plus ancien, le codex 310 de la Bibliothèque Universitaire d’Innsbruck. Il est de 1342 et contient 220 récits de longueur variable. Celui du Bon Pécheur figure en 170e position, représente avec 10 pages de texte environ 4 % du recueil et en est le plus long. La fin du récit est toutefois abrégée par rapport au texte de certains témoins plus jeunes.
Les Gesta Romanorum sont une compilation de récits d’origine diverse et de longueur variable. Ils commencent généralement par une référence à un empereur fictif et campent vaguement l’action dans l’Antiquité. La plupart d’entre eux se terminent par une allégorèse. Ces récits ne sont pas reliés entre eux, ne sont pas introduits par un quelconque prologue et se présentent dans un ordre apparemment aléatoire. Aussi les permutations, suppressions et ajouts sont-ils extrêmement nombreux dans les manuscrits. Dès le XIVe siècle, le recueil fut augmenté d’une version de l’histoire d’Apollonius de Tyr qui n’est toutefois conservée que dans neuf manuscrits (Terrahe 2013, p. 72). C’est le seul récit à dépasser en volume celui du Bon Pécheur.
Le nombre des récits appartenant au corpus des Gesta Romanorum est indéterminé. Dans son édition de référence de 1872, Hermann Oesterley édita 283 récits dont plusieurs présentent des doublons avec des variantes. 181 récits proviennent de l’édition de Zell qui les numérote. Le Bon Pécheur y est le chapitre 81. Oesterley recensait 137 manuscrits latins en incluant la version insulaire composée en Angleterre avant 1421 (Bright 2019, p. lxx). Aucun des 46 manuscrits connus à ce jour avec cette version particulière n’est antérieur au XVe siècle. Il s’agit d’un remaniement avec notamment de nouveaux noms propres. Le grand-père du Bon Pécheur, appelé Marcus dans la version continentale et présenté tantôt comme roi, tantôt comme empereur (sans lien avec Marc-Aurèle), est rebaptisé Eufemianus et le Bon Pécheur lui-même devient Frendricus. Le dernier recensement des manuscrits des Gesta Romanorum est celui établi par Brigitte Weiske en 1993. En incluant la version insulaire et quelques textes apparentés qui se sont avérés être des sources du recueil, tel le Solsequium composé vers 1284 par Hugo von Trimberg, Weiske compte près de 400 manuscrits. Selon une réactualisation encore partielle de ce recensement, le nombre de manuscrits avec la version continentale des Gesta Romanorum s’élève à 295. L’examen de 274 manuscrits, réalisé grâce aux catalogues, aux numérisations disponibles en ligne et à plusieurs consultations in situ, a permis pour le moment de découvrir 28 recueils incluant le Bon Pécheur.
Outre le remaniement en Grande-Bretagne, les Gesta Romanorum ont connu de nombreuses adaptations en langue vernaculaire : en allemand, en anglais, en espagnol, en français, en gallois, hongrois, en irlandais, en islandais, en néerlandais, en polonais, en russe, en suédois et en tchèque. Le recueil est ainsi à l’origine de la plupart des versions du Bon Pécheur. Ce récit est toutefois absent de certaines traductions : celle en tchèque du milieu du XVe siècle avec 112 récits (éd. Nowák 1895), celle en allemand publiée en 1489 à Augsbourg par Johann Schobser avec 95 récits (GW 10903), celle en anglais publiée vers 1510 à Londres par Wynkyn de Worde avec 43 récits (souvent réimprimé, dernièrement en 1974), celle en gallois conservée dans un manuscrit unique réalisé vers 1600 (catalogue) à partir de l’édition de Wynkyn mais ne contenant que 38 récits en raison de feuillets manquants (éd. Williams 2000) et enfin celle en allemand publiée en 1538 à Strasbourg par Jacob Cammerlander contenant 127 récits (VD16 G 1902).
Les trois premières éditions latines parurent dans le Rhin inférieur entre 1472 et 1474. Bien qu’elles soient toutes dépourvues de date, d’indication de lieu et de nom d’éditeur, l’étude de leurs caractères et de leur confection générale a permis de les attribuer respectivement à Johann Schilling ou Jan Veldener, actifs à Cologne (GW 10881, 151 chapitres), à Nicolaas Ketelaer et Gerard Leempt, actif à Utrecht (GW 10880, 150 chapitres) et à Ulrich Zell, actif également à Cologne (GW 10882, 181 chapitres). Oesterley supposa que l’édition d’Utrecht, la plus courte avec seulement 150 chapitres, était la première, qu’un premier éditeur de Cologne ajouta un chapitre final pour amener le corpus à 151 récits et que Zell en ajouta à son tour 30 autres tout en effectuant certaines permutations (1872, p. 266-267). Cette explication n’a jamais été remise en cause. L’examen attentif du récit du Bon Pécheur fait cependant apparaître que l’édition d’Utrecht comporte quelques lacunes par rapport à l’édition courte de Cologne et que celle-ci concorde dans ces passages avec la version originale telle qu’elle est conservée dans le manuscrit d’Innsbruck. L’édition princeps parut donc bien à Cologne et fut amputée pour des raisons inconnues du chapitre final lors de la réédition d’Utrecht. Hormis ces lacunes, les deux premières versions sont extrêmement proches. Celle d’Utrecht couvre 14 pages sur une colonne, celle de Cologne 13 pages sur deux colonnes. Elles seront sur ce site accompagnées d’une traduction française commune.
En 1826, Ludwig Hain recensa 19 éditions antérieures à 1500 (I/2, p. 477-480, no 7734-7752). En 1842, Johann Georg Theodor Gräße lista 42 éditions entre 1472 et 1558, plaçant celle de Zell en tête, l’autre édition anonyme de Cologne en 4e position (p. 304-311). En 1999, Walter Röll corrigea les listes antérieures et ajouta aux 20 éditions du Gesamtkatalog der Wiegendrucke (GW 10880-10888, 10892-10902) 28 éditions parues entre 1503 et 1555 (p. 104-105). Selon une réactualisation qui semble maintenant définitive, le nombre des éditions s’élève en fait à 51 dont 32 sont disponibles en ligne. L’intégralité de ces éditions sera à terme disponible sous forme de numérisations sur ce site. À celles-ci s’ajoutent quatre copies manuscrite d’éditions non identifiées. Elles datent respectivement de la fin du XVe (L6-52 et L6-53), de 1522 (L6-54) et du XVIIe siècle (L2-55). Le quatrième manuscrit constitue le dernier témoin de cette version.
Le récit du Gesta Romanorum diffère du Gregorius de Hartmann en plusieurs points : le grand-père du Bon Pécheur n’est pas duc d’Aquitaine, mais un certain Marcus régnant comme roi ou empereur dans un lieu indéterminé, a priori Rome. Le prétendant n’est pas duc de Rome, mais duc de Bourgogne. À la fin, le récit latin ajoute que le protagoniste fonde une abbaye et nomme sa mère abbesse. Le récit a 95 répliques contre 113 chez Hartmann. La version imprimée des Gesta Romanorum modifie et augmente l’allégorèse par rapport à la version initiale. Elle établit plus de 20 parallèles en identifiant le grand-père à Jésus-Christ, la mère à l’âme, puis à la Sainte Église, le père à la chair, puis à Adam, l’écuelle commune au font baptismal, le Bon Pécheur au genre humain, puis au fils de Dieu, le conseiller du grand-père au Saint-Esprit, le prétendant au Diable, le royaume paternel au Paradis, la tablette aux Dix Commandements, l’abbé à Dieu, le père adoptif à un prélat, les moines aux saints, le sénéchal au confesseur, la chasse à la quête de vanité, les chevaliers aux sens, les vêtements aux vices, la lance à la vie dépravée, les messagers de Rome aux représentants de l’Église, Rome à la Sainte Église, les Romains aux anges et l’abbaye de la mère au royaume céleste. L’allégorèse est assortie de cinq citations bibliques dont quatre empruntées à l’Ancien Testament : Ps 8,8 (796), Jb 17,14 (831), Ps 17,26 (848), Ct 12,8 (872), Lc 15,10 (897).